Attirer le regard par les effets d’animation et retenir l’attention par l’information, tel est le facteur différenciant de ce média. Plus précisément, sa valeur ajoutée est la suivante :

• Réactivité au niveau de la création des contenus et de la mise à jour des données et instantanéité de la diffusion de l’information,
• Adaptabilité des messages qui sont diffusés par période, tranche horaire, mais aussi ciblés selon une typologie d’auditeurs,
• Variabilité du message qui peut être diffusé à l’identique sur tout ou partie des sites ou paramétré localement sur tout ou partie du contenu,
• Puissance du support lié au nombre de messages pouvant être diffusés et à l’utilisation de plusieurs formats (vidéo,son, images).

La communication audiovisuelle dynamique est réellement un cross-media qui emprunte à l’internet la mise à jour en temps réel, à la télévision la puissance de l’image et à l’affichage la communication « out of home ». 

QUELQUES CHIFFRES ILLUSTRANT L'IMPACT DU DIGITAL MEDIA (DOOH)

• De plus en plus visible : 66% de taux de visiblité pour les écrans. Ils arrivent en tête de tout l’univers PLV. (Etude NIELSEN)
• 65% des français ayant acheté des produits dans des enseignes proposant des innovations digitales affirment qu’elles ont facilité leur parcours d’achat.*
• 53% des français déclarent que la présence d’innovations digitales les incite à fréquenter une enseigne plutôt qu’une autre.*
• 67%** des répondants pensent que les réseaux d’affichage numérique permettent d’atteindre une audience de qualité (répondants qui ont attribué une note comprise entre 4 et 5 sur une échelle de 1 à 5). Ce chiffre atteint 70%** chez les acheteurs et planner medias
• 57%** pensent que l’affichage numérique offre un excellent rapport qualité/prix
• 59%** des répondants trouvent que les réseaux d’affichage numérique offrent des opportunités de publicité innovante et créative (62% chez les acheteurs/planners medias)
• Les consommateurs considèrent les réseaux d’affichage numérique comme étant le media le plus fiable après la TV, mais devant la presse et le WEB
• 34%*** des consommateurs pensent que les publicités DOOH sont les plus facilement mémorisables , vs 46% pour la TV et 7% pour la presse et 4% pour le online
• 62%*** des consommateurs passent à l’action après avoir vu une publicité DOOH (sur des réseaux d'écrans)
• 59%*** des répondants déclarent avoir de l’intérêt pour les publicités DOOH. Ce taux monte à 65% lorsque celles-ci proposent une interaction telle qu’une récompense ou des bons de réductions
• plus de 70% estiment que les totems digitaux sont « bien visibles »****
• 66% des panélistes trouvent qu’ils captent le regard et informent, et 57% les qualifient également de divertissants****
• 55% souhaitent en outre voir plus de spots publicitaires diffusés sur les totems digitaux (un taux qui grimpe à 58% chez les CSP+ et 62% pour les habitants d’Ile-de-France) avec une « appétence marquée pour les loisirs »****

*Etude réalisée dans le but de mieux cerner le regard et les attentes des Français sur l’évolution de leurs points de vente. (IFOP à la demande de l’Atelier BNP Paribas) – Echantillon de 1011 personnes représentatif de la population française, âgé de 18 ans et plus. ** Etude de MyersBizNet, menée auprès de 250 annonceurs et directeurs d’agences  sur les réseaux d’affichage numérique (« Digital place-based » media). *** Etude mondiale de FEPE International auprès de 1000 personnes;****Selon une étude de Clear Channel, réalisée en partenariat avec l’institut Iligo, auprès de 357 panélistes, fréquentant les 70 malls où Clear Channel est implanté en France

QUEL RETOUR SUR INVESTISSEMENT PEUT-ON ATTENDRE D'UN TEL PROJET ?

La logique d’investissement d’un projet de Digital Media est plus importante qu’en PLV / affichage papier par exemple, puisqu’elle comprend le prix d’acquisition des écrans et players, le coût des licences logicielles, les coûts d’installation, de production des contenus et de maintenance, selon la disposition du matériel. L’investissement consenti étant important, le porteur de projet peut être en mesure d’attendre un retour sur investissement important. En fait, le modèle financier diffère de tous les modèles liés aux supports traditionnels.

Pour un projet de Digital Media, il convient en effet de ne pas aborder le modèle économique par le seul impact sur les ventes générés ou la rentabilité purement financière ou "comptable", mais d’intégrer la valeur ajoutée induite en terme d’image et de communication.  

La question du financement du projet est une question importante dans la prise de décision.Trois types de modèles existent : financement sur fonds propres / financement par la publicité / autofinancement partiel. Ils doivent être mis en perspective de la nature du projet. Serait-il logique de financer intégralement un projet de communication interne par de la publicité ?